What a beautiful day en mp3
Voici donc le premier morceau de DIY-AD(d) :
« What a beautiful day (featuring Solcarlus)« .
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Ce morceau de plus de 16 minutes est construit à partir d’extraits des neuf premiers morceaux de Ghosts I-IV, premier album de Nine Inch Nails diffusé sous licence Creative Commons by-nc-sa (cela signifie que l’écoute, le téléchargement, la rediffusion et la production d’oeuvres dérivées sont autorisées par les auteurs du moment que l’utilisation n’est pas commerciale).
DIY-AD(d), dont les membres diffusent déjà leurs oeuvres depuis plusieurs années sous la même licence, se devait de rendre hommage à cette initiative : Nine Inch Nails est bien le premier groupe reconnu sur les plans artistique et commercial à passer dans le camp de la musique libre.
Avant même de franchir ce Rubicon, Trent Reznor, la tête pensante de Nine Inch Nails, avait déjà depuis longtemps permis aux fans de télécharger ses morceaux et de les remixer. Pour autant, « What a beautiful day » n’est pas un simple remix. En effet, les samples puisés dans neuf instrumentaux différents de Ghosts I-IV ont servi de matière sonore à l’élaboration d’un morceau réellement nouveau, traversant différents styles (rock, new wave, dub, électro…).
En plus de ces samples (musique composée et jouée par Trent Reznor, Atticus Ross et Alessandro Cortini), il contient des mélodies et des arrangements composés, joués et chantés par DIY-AD(d) et Solcarlus, avec le concours vocal de HP. Les textes sont signés Mankind Concept, avec quelques ajouts de Siegfried Gautier.
Bonne écoute.
Tags: dub, electro, mp3, new wave, NIN, remix, rock, Solcarlus
12 mars 2009 à 16:31
Aie Aie Aie : j’ai lu votre bonne interview sur dogma .. j’ai bien aimé , et impatient d’ecouter car une présence vocale sur ghosts fait quelque fois défaut , ça aurait été un plus à rajouter…. donc je suis allé écouté et arrrgh la voix ! j’ai du mal à accrocher, c très bien techniquement mais lyriquement c un peu casse gueule ça part dans tous les sens … et surtout le pire c’est cet accent à couper au couteau limite parodique…
du coup on dirait que le chanteur ne croit pas un mot de ce qu’il chante : » Aie Si a lidl animol, a monnké … a bioutifoule monnké ! » LOL ce qui est vraiment dommage c’est qu’on dirait que les paroles on été écrites pour meubler à certains endroits…
Bon désolé de vous infliger ça mais j’ai trop craqué… Je peux pas, après c’est sur que ya plein de gens que ca dérangera pas !
après je suis pas fan des arrangements au début… par contre les 2 dernieres parties sont vachement bien , ca pète.. surtout le paassage avec le beat ralenti et divisé… Je suis vraiment fan !
apres encore remarque personnelle, j’aime pas trop le son de la basse qui fait un peu variété à la Michel Berger …
mais bref on sent qu’il y a du boulot derrière, c’est bien trouvé alors pardonnez moi de mon intolérance stylistique, défoulez vous sur ma page, car il y a de quoi critiquer !! c’est de l’indus new wave samples avec un son en carton K7 TDK
Bon je viens de voir la vidéo j’aurais du éviter… Je sais que la musique c’est aussi marrant et le principal c’est de s’amuser, mais là le visuel … fait vraiment bizarre, bon ok question de gout encore une fois. Je sais pas… ya des incohérences de styles dans les paroles qui vont pas avec la musique qui vont pas avec les dessins, qui vont finalement pas du tout dans la veine de NIN, mais tant mieux, son boulot était fait pour ça aussi, ce « Manu Chao » de l’indus
Ou est-ce que on peut écouter d’autres compos ? euh voilà bonne chance pour la suite, j’aime bien votre discours sur la musique libre fight !!!!
16 mars 2009 à 22:26
Merci tout d’abord d’avoir pris la peine d’écouter le morceau et de rédiger ce commentaire.
Au sujet de l’accent : nous sommes des francophones peu à l’aise avec la langue de Shakespeare mais nous avons fait le choix (en partie parce que NiN est un groupe américain) de chanter en anglais sur ce morceau.
De mon côté, des paroles en français chantées avec un accent local ou étranger, ça ne me choque pas forcément. Parions que les auditeurs anglophones ne seront pas trop sourcilleux non plus.
Au sujet de la voix : des expériences passées nous ont montré qu’une technique vocale plus poussée pouvait aussi affadir la musique. Nous avons donc fait le choix de privilégier l’authenticité plus que le lyrisme. C’est un choix peut-être contestable mais assumé.
Au sujet de la basse : je ne pense pas que Michel Berger fasse partie de nos références et la ressemblance ne me saute pas aux yeux.
Sinon, nos autres compos en solo ou dans d’autres formations peuvent être écoutées en fouillant un peu sur les pages du label « in cauda venenum ». Le prochain mini-album de DIY-AD(d) sortira sous peu. Un morceau est dores et déjà disponible par le biais du livret de « What a beautiful day ».